Le loup prisonnier hurle, il veut sortir de ses gongs et sortir tout ce qu'il a des ses tripes. il veut faire partager sa rage intérieur jusqu'à épuisement, jusqu'à son dernier souffle. Il veut montrer son potentiel, mais personne ne le voit. Il ne sait plus quoi faire. Il a beau faire le meilleur de lui mais ça ne suffit jamais. Il est fatigué d'essayer de faire le maximum sans résultat apparent. C'en est trop à supporter au quotidien, il préfère quitter sa meute. 

"Le suicide, ce n'est pas vouloir mourir, c'est vouloir disparaître"

Je reprenais goût à la vie, hélas, une rechute dans l'obscurité de mes pensées à repris le dessus mais pas aussi longtemps que d'habitude. Moi, qui pensais en être débarrassées, les revoilà à s'imposer... 

                Tout d’abord, de base on était de simples camarades, on se parlait comme ça. J’aime bien embêter, pour employer un mot correct, les gens. Il faisait partis de mes cibles. Et puis après on a commencé à parler par rapport à une amie, qui voulait sortir avec mais qui n’osait pas lui dire.  J’ai fait l’intermédiaire. Mais lui ne s’intéressait pas à elle. Il se confiait sur ce qu’il pensait d’elle, d’autres déformaient ses propos mais heureusement mon amie me faisait confiance et je l’ai rassuré sur certains points. Bref, petit à petit, j’ai appris à mieux le connaître et je pense qu’il a vu qu’il pouvait me faire confiance et de mon côté j’ai vu que je pouvais lui faire confiance. Du coup, malgré qu’il soit parti de France, on a continué à garder contact. Je ne sais pas trop quoi dire sur lui, je n’ai pas partagé autant de choses avec lui que j’en ai partagées avec les autres. A part ça dans les moments où je n’avais pas le moral il était  « là ». Quand il a de la discussion, j’aime bien parler avec lui. Même si il y a des moments où je l'énerve avec certains de mes dits. Je pense que c’est le début d’une amitié qui j’espère durera.

La plus courte description sur les cinq. Mais bon, je trouve qu’il a été plus présent par rapport à d’autre personne que je côtoie quotidiennement.