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    La nuit du vendredi 9mai au samedi10mai 2008, le cauchemar se produisit.

    Mes parents étaient séparés, mon père vivait encore avec nous le temps d’avoir une chambre à sa caserne.

    Il était invité chez des amis avec mes frères, ma sœur et moi étions avec ma mère chez mon beau-père. Mon père est rentré un peu plus tôt chez nous, il avait soit disant encore faim et cherchant les pizzas qui étaient manger par nous. Il a de suite appelé ma mère pour des explications. Ma sœur et moi dormions sur le divan, ma mère nous réveilla et nous dit de nous dépêcher. Nous rentrâmes chez nous pour éviter toute histoire avec mon père. A l’époque j’avais 10ans et ma sœur avait  allé avoir 2ans. Bref, nous rentrâmes dans la maison, ma sœur voulait un biberon ma mère alla lui préparer, moi, j’étais encore devant la porte d’entrée à moitié réveillée. Lorsque j’entendis ma mére crier et mon père lui criait fort. J’accouru à la cuisine, mon père a balancé ma mère au sol, je m’approche d’elle et la protège des coups de mon père. Ma sœur spectatrice de cette scène pleurer, j’étais en pleure suppliant mon père d’arrêter. Mes frères effrayés n’osaient bouger. Mon grand frère essaya de prendre le téléphone, mon père entendit le bruit et lui ordonna de le poser.

    Pour éviter le pire ma mère essaya de se relever pour aller préparer sa valise car mon père lui disait de dégager ! Sa chambre étant en haut, elle empreinte les escaliers, elle eut le temps de les monter, mon père ouvrit la porte d’entrée attrapa ma mère et la projeta à plus de quinze mètres. Je suivi ma mère, mon père m’attrapa les cheveux et me tira en arrière m’empêchant de la rejoindre, il sortit et ferma la porte.

    A ce moment, je me posais la question si je devais prendre des chaussures ou non. Je me dirigeais vers la porte et sortais pieds-nu, relevant ma mère Elle avait super mal.  Je lui attrapai la main et lui dit qu’on devrait aller chez le maire de mon village qui habitat à deux pas. Elle refusa de le déranger.  Nous appelions au secours, personnes. Ma mère décida d’aller jusqu’à la maison de mon beau-père qui était dans le même village. Nous y allions, derrière nous, notre chien sortant de nulle part nous suiva.

    En nous rendant chez lui, nous entendîmes une voiture qui roulait assez vite, nous supposons que c’était mon père... C’était lui, nous attrapâmes notre chien et nous cachâmes dans les hautes herbes. Finalement, nous fîmes demi-tour. Et nous cachâmes derrières les buissons qui se trouvent en face de chez nous.

    Pendant l’absence de mon père, mon frère a pris dans sa chambre mes deux autres frères ainsi que ma petite sœur dans sa chambre. Il a pu joindre la gendarmerie.

    La gendarmerie arrivée, nous sortîmes de notre « cachette ». Mon père arriva au même moment. Il surgit de la voiture.

    Les gendarmes ont fait rentrer à l’intérieur mon père. Ma mère et moi étions pieds-nu peu vêtu dehors.  Ils nous ont demandé si on avait un proche à appeler.  Mon père insista pour qu’on appelle mon papy. Ma mère ne voulait pas déranger ses parents sachant qu’ils n’étaient pas trop au courant de la situation. Ils appelèrent quand même.

    Mon papy ne savant pas la pourquoi du comment a cru ce que mon père lui avait dit au téléphone. Alors, à son arrivé à la maison, il commença à engueuler ma mère lui disant que c’était de sa faute si mon père avait péter un câble. Malgré que nous étions dehors peu vêtu et pieds-nus mon grand-père ne prenait pas plus notre défense, et rentra rejoindre mon père à l’intérieur. Un des gendarmes était resté dehors essayant de calmer mon frère pour qu’il arrête de dire des insultes auprès de mon père. Il demanda à ma mère si nous allons repartir avec mon grand-père, elle refusa de partir chez lui ne voulant toujours pas les déranger sachant que mes grands-parents ne vivent pas dans une grande maison. Au bout de trois quart d’heure mon grand-père reparti.

    Mon père sorti et s’approcha de ma mère, pour être sûr qu’on lui reproche rien il tendit ses poignet au gendarme, mais on ne le menotta pas. Il s’approcha de plus près de ma mère, et d’un coup lui arracha la chaîne qu’elle avait autour du cou et la balança de l’autre côté de la rue.   

    Le gendarme l’écarta s’en plus et nous demanda de rentrer à l’intérieur. Notre chien étant toujours près de nous, nous le mettions au sous-sol. Je dû rejoindre mes frères et sœur dans la chambre. Nous ne savons pas qu’est ce qui se passe en bas. Mon beau père avait acheté à frère une carte Sim avec les premiers téléphones de première bases, bref, du coup dans la chambre il nous avait appelé dessus pour savoir ce qu’il y avait eu,  tout le monde aller bien, il nous rassurer. Ma mère monta et alla demander à des amis proche qui ont de la place si on pouvait aller chez eux, car oui c’est nous qui avons dû quitter le logement.  Ils acceptèrent, alors on prit des valises et y mis le nécessaires le temps des vacances qu’ils restaient. Nous prenons nos deux chats et leurs nourritures. Nous partîmes. Ils étaient déjà pratiquement 5h.

     

    Le lendemain ma mère avait justement rendez-vous avec son avocat mais vu les bleus, la nuit courte, la défiguration, elle prit rendez-vous chez le médecin avant celui de l’avocat.

     

     

    (en faite si c'est la fin de ce fameux soir , je continue la suite mais sur un nouvel article, pour la cohérence du titre)


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  • Mon père avait appelé chez les gens, regrettant mais bon... Ma mère, une fois debout, pris rendez-vous chez le médecin avant le rendez-vous chez l'avocat. Je l'accompagnai, on dû passer devant la maison pour le rendez-vous chez l'avocat, j'étais terrifiée à lidée de passer devant. De peur qu'il nous voye passer devant et qui sait nous suivre. 

    Arrivé, l'avocat vu l'état critique de ma mère et lui demanda ce qu'il s'était passé. J'en avais des frissons. Ma mère lui demanda ainsi les démarches à faire par rapport à nous. Il prit note des demandes. Moi je refusais de revoir mon père, sachant que j'étais au coeur même des actres de violences et ayant pris quelques coup, l'avocat pouvait faire une demande à ce que je ne sois pas obliger d'y aller. Mais pour mes frères et soeurs s'étaient plus compliquer il fallait prendre un avocat pour enfant ect.

     

    L'après-midi, ma mère était convoquée à la gendarmerie pour déposer plainte. Mon grand frère et moi-même, l'accompagnèrent. On y est resté toute l'après-midi. C'était long et une polémique est parvenue bref les gendarmes ne sont pas fiables vis à vis des militaires. Mon père n'a même pas était en garde à vu , rien. [...]

    Quand, nous sommes rentrées mon père avait encore appelé. Il voulait nous parler, mais personne n'a voulu. Ses paroles étaient tellement suspect que ma mère appela les pompiers pour être sûre qu'il ne fasse pas de conneries. Il s'est fait interné à l'hôpital sous surveillance. Ma mère, lorsqu'elle apprit celui profita d'aller à la maison récuperer quelques affaires et de voir si nos chiens aller bien et les nourir ( car oui nous n'avons pu les prendre avec nous, mais on les pris à ce moment là puisque la voiture était vide). Dans la chambre de mes parents, nous avons retrouver des mégaux de cigarettes, dans une bouteille. La maison était sale.

    Nous prenons tous ce que nous avons besoins. ....

     

     

     

     

     

     


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