• « Quand  on veut on peut ». Mais dès lors nous ne mettons aucune volonté dans ce que nous entreprenons, il ne peut y avoir de résultat.  Quand une personne commence à ne plus croire en ses rêves en ses capacités, je lui dis toujours d’être patient et de s’accrocher et de ne surtout  JAMAIS ne baisser les bras. Alors que je suis la première à baisser les bras devant la difficulté de peur de ne pas y arriver encore.

    « Un jour tout ce paye », c’est ce qu’on me  répète sans cesse ;  pourtant malgré toute la volonté et les efforts fournis pour dépasser  ces difficultés, ne voyant  aucun résultat ; j’ai vite baissé les bras.  Pourquoi ? Parce que c’est la même histoire à chaque fois. Entre les reproches et les mots qui sont là pour nous rassurer et nous faire avancer et prendre confiance en nous ; les reproches prennent le dessus. Je n’y peux rien.  On ne peut échapper à son passé ; même si là, encore, il s’agit de mettre de la volonté pour essayer d’avancer et de ne pas rester bloquer dans ses pas. Je le sais, je suis entièrement d’accord avec ça. Mais je n’y arrive plus. Un jour, je tiendrais un discours où je dirais que tout va bien que je n’ai qu’une seule envie c’est de me battre pour aller au bout de mes choix. Et puis un autre jour, je serais là, à douter de tout, à avoir peur de tout, à ne plus avoir cette envie de me battre.

    Cela fait plusieurs années que je vis dans cette engrenage, et je ne suis pas bien vieille, c’est assez triste d’ailleurs, enfin, je ne devrais pas ressentir un tel dégoût de la vie. En fait ce n’est pas tant la vie que je rejette mais la vie en société. Ce que l’on me propose ne me convient pas. Mais je n’ai pas le choix de me plier aux règles. J’aimerais tellement laisser mon imagination, mon âme libérer tout ce qu’elle a envie de crier. Si vous saviez le nombre de choses que je me refuse de faire ou d’aimer.  Il y a un milliard de choses que je voudrais faire pour moi mais avant tout pour le plaisir de partager. Je sais que je perds mon temps enfermée entre quatre murs. Ce que je fais ne m’intéresse pas. Je n’ai jamais connu autant de difficultés aussi banales. Mais il faut bien l’admettre, lorsque quelque chose ne nous plait/intéresse pas nous oublions vite. J’aimerais tout arrêter, maintenant, mais cela ne servirait à rien d’échapper à sa ‘’destiné’’. J’irai jusqu’au bout, sans regret. Je trouverais un moyen de m’en sortir. Et puis entre nous je sais que je ne suis pas toute seule, il y aura toujours des personnes qui seront là un moment ou un autre pour m’aider à avancer ; nous allons beaucoup plus loin à plusieurs que seul certes nous y arrivons plus vite mais c’est en allant vite que nous passons à côté des plus beaux évènements.

    Rien ne se fera du jour au lendemain, je sais que je vais devoirs encore fournir beaucoup d’effort pour arriver à mes fins, mais si je suis épanouie dans ce que je fais malgré les difficultés que je pourrais rencontrer, ce ne sera rien comparer à tout ce que ça m’apportera dans mon quotidien.

    Je veux accomplir ce qui m’est réellement destinés et non ce qu’on m’impose. Temps que je fais les choses avec le sourire, du moins avec plaisir il peut y avoir tous les barrages qui s’opposent sur mon chemin ; je ferais tout pour les traverser et les contrer.

     

    Je me fais passer pour la fille insociable, méchante et tout, en réalité ce n’est qu’un masque, un masque derrière lequel je me protège des blessures du passé.  On n’est jamais réellement guéri d’une blessure. Parfois pour changer les mauvaises habitudes ça demande un effort à faire sur soi mais également beaucoup, beaucoup de temps et énormément de volonté. Il faut que ce changement vienne de nous, seul nous pouvons décider de la manière dont nous voulons nous comporter.  Oui, il est vrai que l’environnement d’où nous venons joue aussi sur notre façon d’être. C’est pour cela que lorsque nous sommes apte à comprendre ce qui se passe autour de  nous il faut faire les bons choix, même si au fond c’est inévitable, personne n’est parfais, nous ne pouvons pas plaire à tout le monde. De même que tout le monde ne peut nous plaire. Notre monde est diversifié c’est comme ça et tant mieux. D’ailleurs il est tellement diversifié qu’il faudrait ne pas oublier qu’il n’y a pas que l’être humain qui vit sur Terre. Il y a d’autres êtres vivants qui méritent autant que nous leur place au sein de notre écosystème.  

    Nous l’oublions mais si nous pouvons respirer ‘est bien grâce aux végétaux qui rejettent du dioxygène et surtout grâce à ces forêts, qui malheureusement disparaissent pour le compte de quelques personnes qui veulent s’enrichir sur le compte de la planète. Je vais m’arrêter là et revenir sur le sujet principal.

     

                    Si je n’obtiens pas ce bout de papier, et bien tant pis, je ne compte pas aller dans des entreprises et me plier aux ordres et à faire ce que je déteste. Je ferais ce qu’il faut  pour épargner et aller voir ce qu’il y a à prendre ailleurs. Je n’ai pas envie de regretter plus tard de ne pas avoir été au bout de mes objectifs. Je veux faire de nouvelles rencontres, découvrir d’autres lieux, d’autres cultures, d’autres valeurs et pourquoi pas l’endroit qui me fera sentir à ma place, chez moi ! Et ce qui, je pense, me fera encore plus plaisir et qui me donnera la force de ne pas retourner en arrière c’est de pouvoir partager toutes ces expériences. Je crois qu’en fait je n’ai quasi jamais été réellement « moi ». Il me reste encore beaucoup de chose à apprendre sur moi-même. Je me mets de limites qui me bloquent ma liberté.  A présent, une fois que tout est fini, plus rien ne me retiendra. Je n’aurais qu’à laisser exprimer tout ce qui est emprisonné au fond de mon esprit. Je m’en donnerai les moyens. 

     

     

     

                    


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  • Il y a tellement de choses qui me font peur, qui m’empêchent d’être la personne que je voudrais être. Personne n’est parfait et je suis loin de l’être. Pour tout vous dire, je suis une « stressée de la vie », comme le dirait mon frère, mais comment voulez-être un minimum serein dans cette société. Souvent je me demande qu’est-ce que je fais ici. Je ne me sens vraiment pas à ma place. Il n’y a pas de place pour des gens comme moi. Et oui, malheureusement, fut un temps où l’apprentissage était quelque chose que j’aimais beaucoup, sauf que le bourrage de crâne pour obtenir un bout de papier qui jugera si nous sommes aptes ou non à nous orienter vers une profession quelconques. Pour qu’il n’y est que les meilleurs des meilleurs laissant de côté les autres. Je ne comprends pas cette façon de nous trier depuis le plus jeune âge. (…) Cette année, c’est l’année du baccalauréat mais aussi de la majorité pour ma part. De nouvelles responsabilités vont s’ajouter, dont certaines je m’en passerais bien. Je déteste la politique, pour moi, ceux qui constituent notre gouvernement, sont tous des crétins. Bref, je ne m’éterniserais pas sur ce sujet. Si nous venons d’un milieu défavoriser nous sommes considérés comme des moins que rien, comme des personnes qui ne seront jamais rien faire. Si nous ne faisons pas d’études supérieurs nous ne sommes pas assez qualifiés, nous n’avons pas notre chance et nous l’avons encore moins si nous n’avons pas le baccalauréat en main. Il y a ces jeunes qui ne manquent jamais de rien qui sont considérés comme les fils /fille à papa maman, qui peuvent généralement accéder à deux grandes écoles etc… Sans oublier ceux qui viennent de foyer, considérés comme des enfants rejetés par leurs parents ou comme des gamins perturbant qui ne deviendront jamais des personnes stables. Mais peu importe d’où l’on vient nous serons toujours jugés par rapport à notre passé. De grandir dans une société où nous devons toujours être meilleur que les autres, où nous devons avoir un esprit de compétition surdimensionné, où il n’y a plus de respect ; où la solidarité disparait, où la différence est mal ; me rend dingue et me fait très peur. Je n’arrive pas à m’intégrer. Combien de fois ai-je voulu tout abandonner à cause de toutes ces conneries là ? Je ne compte même plus…

    (….. )

    Il m’arrive souvent, surtout durant ces deux dernières années, de baisser les bras, de douter de tout, des gens, de moi. J’ai cette sensation de perdre mon temps. Et puis je me demande qu’est-ce que je pourrais bien faire plus tard, qu’est-ce que l’avenir me réserve. Mais en même temps, je n’arrive pas à avancer. Je reste bloquée sur place. Fort heureusement, je considère que c’est une chance, il y a des choses, des personnes qui me retiennent encore dans ce monde. Sachant que je ne sais pas ce que je veux, que je déteste m’attacher aux gens de peur de les perdre, d’être trahi, de revivre le passé, même si je ne le veux pas forcément, je me débrouille toujours pour décevoir les personnes que j’aime le plus. Je n’arrive pas à ne pas leur faire du mal même si au fond ça me détruit aussi. Je n’arrive pas à me décider. Je n’ai pas envie de m’attacher plus que je ne le devrais. Je ne voudrais pas regretter mes choix, je voudrais vivre ma vie avec les bons défis, j’aimerais être sûre de moi au moins une fois. J’aimerais dire ce que je pense sans avoir peur des préjugés, d’être rejetée, ou de dire une bêtise… Même si l’erreur est humaine pour certain c’est une honte…. (….)

    Je suis énormément reconnaissante envers ses personnes qui me donnent cette force de continuer d’avancer. Ce ne serait que moi, il y a bien longtemps que j’aurais lâché l’affaire. Je sais que je suis invivable et que j’ai un putain de sale caractère, je dois bien avouer que moi-même j’ai du mal à me supporter et à me comprendre. Il y a tellement de choses que j’aimerais découvrir, et puis j’ai beaucoup encore à apprendre. Et ce, loin de cette société ! Je fais et ferais encore des mauvais choix mais ces erreurs m’aident à progresser. Et surtout à me remettre en question.

    Est-ce qu’un jour j’arriverais à ne plus abandonner aussi facilement ? Suis-je prête à m’élancer vers l’inconnu, cet inconnu que je redoute tant ? Seulement si je sais qu’ils resteront toujours à mes côtés…

    (…)

    Alors toi qui est en bas de l’échelle sociale, toi qui n’as pas fait d’études supérieures, toi qui es seul contre tous, toi qui te sens rejeté par la société, toi qui lis ceci tout simplement, ne baisse pas les bras, fais nous entendre ta voix qui compte tout autant que celle de ces ivrognes. Un jour ou l’autre tu rencontreras sur ton chemin ces personnes qui t’aideront à avancer encore plus loin que tu ne l’imaginais.


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  • Hello tout le monde

    Vu que je n’alimente plus tellement le blog il n’y a plus grand monde qui y vient. Je ne vais plus tellement moi non plus sur les autres blogs. Mais bon cet article n’est pas là pour parler de ça, enfin pas directement. Pour ceux qui viendront je vais prochainement ouvrir un nouveau blog mais sur une autre plateforme. Je ne sais pas si ceux que j’ai sur EKLA seront supprimés ou non mais je vous tiendrais au courant le moment venu. Pour le moment je monte petit à petit ce projet il y aura des nouveautés par rapport à ce qui peut déjà se trouver ici.  J’aimerai pouvoir l’activer pour juin mais avec les révisions pour le BAC c’est un peu juste. Je veux vraiment qu’il soit comme je le veux et vraiment à mon image. Je n’en dirais pas plus. Je vous informerai d’ici là s’il y a du nouveau. Et celui-ci je compte bien m’y impliquer au maximum pas comme sur ekla où ça devient un peu mort ; c’est pour cela que je prends le temps de faire les choses correctement.

    Sur ce j’espère que vous allez bien et pour ceux qui passent des examens de fin d’année je vous souhaite bon courage et que la réussite soit avec vous !

     

    Salut salut !! A très vite !


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  • Il y a un milliard de choses qui se passent dans ma tête toutes plus insensées les unes que les autres. Je n’arrive pas à faire la différence entre ce qui est juste et ce qui est mauvais. Je laisse sortir les mots comme ils viennent. Ils ne sont pas forcément les plus justes ni les plus correctes. Une fois sortie de ma bouche, faire un retour en arrière n’est plus possible. Les regretter non plus, à quoi bon. Il fallait y réfléchir plutôt maintenant il est bien trop tard. 
    En fait, même avec toute la volonté, je ne suis toujours pas capable de mener à bien ce que j’entreprends. Si seulement je pouvais mieux me canaliser. J’avance sans vraiment savoir où je vais réellement ni dans quel but je continue de poursuivre cette voie
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    Souvent je suis qualifiée de quelqu'un qui n'est pas normal et j'aimerais vous dire que heureusement que je ne suis pas normale. Pour moi lorsque l'on dit que je suis normal c'est limite insultant. Pour moi la normalité c'est d'accepter d'être rangé dans des cases des critères imposés par la société; c'est quelque chose que nous nous imposons afin d'être bien vu, d'être dans les critères. Nous sommes tous différents par rapport au caractère, à notre ouverture d'esprit à notre façon de penser. Comme on dit "les goûts et les couleurs ça ne se discutent pas". Nous n'aimons pas forcément les mêmes choses et au contraire il faut accentuer ses différences car c'est ce qui nous caractérise c'est ce qui nous différencie les uns des autres cela fait partie notre identité en quelque sorte. Et tout ce que j'ai à dire c'est que il faut arrêter de se cacher derrière ce masque pour faire paraître plus normale oui je dis ça alors que moi-même je porte un masque suivant les personnes à qui je suis c'est très dur d'être soi-même. J'aimerais tellement pouvoir être moi-même tout le temps sans me préoccuper des gens qui sont autour de moi. Alors oui il y a des attitudes à avoir selon le contexte de la situation. Pour être heureux et bien mentalement, je pense que pour laisser tomber les masques. Même si je reconnais que nous voulons garder justement cette partie de soi pour les gens qui en valent vraiment la peine je le reconnais c'est sûr, c'est même une évidence.


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  • ça y est j'ai mes premiers tatouages. Avoir une de mes réalisations sur moi c'est un peu comme une fierté et puis elle signifie quelque chose de particulier. Ce papillon je ne le regretterais pour rien au monde. Il concrétise ma volonté à surpasser le passé et à avancer jusqu'au bout de mes choix...  Et puis le signe du sagittaire qui représente les deux femmes les plus importantes pour moi: ma mère et ma mamie. 

    Cette expérience ne fait que confirmer mon intérêt pour les tatouages. J'avais peur de ne pas supporter l'aiguille et puis finalement, j'avais limite envie de continuer.Ma mère serait étonner de savoir que je n'ai pas eu mal; moi qui avait terriblement peur des aiguilles auparavant. Elle serait surprise de beaucoup de chose si elle me voyait évoluer telle que je suis aujourd'hui et non comme la petite que j'étais. 

    Mais je ne m'arrête pas à c'est deux là... Pour certaines personnes peut paraître de trop mais je veux encore ma plume et mon attrape rêve, j'attends encore un peu pour ces deux là et puis qui sait peut être que d'autres arriveront mais bon pour le moment je n'ai que ces quatre là. Affaires à suivre :p 

     

     

    Enfin!

    Enfin!

     


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